La série
Notre histoire se déroule durant la conquête de la Gaule dite « celtique » par les légions de Jules César (- 58 à – 50 Av. JC.). Nous nous sommes basés sur l’ouvrage qu’il a rédigé tandis qu’il menait cette guerre et qu’il a ensuite publié à Rome, pour sa propre gloire et sa propagande, dès la fin de son proconsulat en Gaule : La guerre des Gaules. L’arrière-plan du scénario se réfère essentiellement à ce livre, même si nous avons tenu compte des dernières recherches sur cette question afin d’avoir un rendu plus proche de la réalité. Cependant, le récit que nous développons (sur deux ou trois tomes selon le nombre de pages et la présence ou pas de dossier) s’attarde avant tout sur le parcours de six « personnalités » traversant cette époque troublée. Jules César et Vercingétorix, une espionne éduenne au service des Romains et un druide fanatique qui prêche la guerre à outrance contre l’envahisseur, un chef Arverne combattant sous les ordres de Vercingétorix et un général romain proche du parti sénatorial qui obéit à César, mais ne partage pas ses desseins.
En outre, notre histoire montre la relation particulière entre César et Vercingétorix : ils sont amis et alliés (tome 1, "Caius Julius Caesar") puis la situation dégénère entre les deux hommes pour finir par les transformer en rivaux acharnés pour qui le pouvoir suprême est la chose la plus importante (tome 2, "Vercingetorix"). La victoire ou la mort car ils n’ont aucune autre issue au duel qui les oppose.
Ainsi, le cadre historique tel que César nous l’a transmis sert de base à des histoires personnelles qui s’entremêlent et participent au changement profond de l’empire romain et aux prémices de la fin de la République. Espionnage, subversion, alliance politique, stratégie et propagande au service d’une cause et d’un homme : Rome et César !
Fiction et réalité, mythe et légende se mêlent pour donner une bande dessinée qui permet de revivre une aventure exceptionnelle menée par un homme qui a marqué l’histoire de l’humanité.
Une fois son consulat terminé, Jules César rejoint hâtivement son poste en Gaule. Pour éviter toute mise en cause devant la justice, il demeure durant son proconsulat dans ses provinces. En hiver, il retourne en Gaule cisalpine, où il reçoit ses partisans. Chaque année, il n’oublie pas de s’assurer que parmi les élus à Rome des magistrats lui soient favorables. La gestion de ses affaires en Italie même est confiée à son secrétaire Balbus avec qui il échange par précaution des courriers chiffrés.
Dès mars 58 av. J.-C., César s’engage dans la conquête de la Celtique en profitant de la migration des Helvètes et de leurs alliés. Cette expédition militaire est motivée par ses ambitions politiques, mais aussi par des intérêts économiques qui associent les Romains à certaines nations gauloises clientes comme les Éduens ou les Arvernes.
À Rome, les conservateurs réagissent avec circonspection à la guerre qu’il mène dans des terres appartenant à des alliés de longue date. Son affrontement contre le germain Arioviste, « ami du peuple romain », scandalise Caton, qui proclame qu’il faut compenser cette trahison de la parole romaine en livrant César aux Germains. La victoire contre Arioviste est totale et permet à César de devenir un acteur essentiel dans les affaires de la Celtique.
La Belgique et une partie de la côte Atlantique sont conquises en 57 av. J.-C.. Malgré des victoires sur les Nantuates, les Veragres et les Sédunes ainsi que la prise du col du Grand-Saint-Bernard, les armées commandées par Galba doivent battre en retraite et retourner dans le pays des Allobroges pour passer l’hiver. Cependant, l’ennemi belge est anéanti, n’étant plus une menace pour Rome ni pour les peuples gaulois voisins.
En 56 av. J.-C., Lucius Domitius Ahenobarbus, candidat au consulat soutenu par Caton et par Cicéron, met à son programme la destitution et le remplacement de César. Toujours obligé de se cantonner en Gaule, César réunit à Lucques Crassus, Pompée et tous les sénateurs qui les soutiennent. Ils renouvellent tous trois leur accord et définissent un partage des provinces. Pompée et Crassus profitent de l’appui de César pour remporter les élections et être élus pour un second consulat l’année suivante. Cicéron a des obligations envers Pompée et s’incline en soutenant la prorogation du gouvernement de César pour cinq nouvelles années. Durant cette même période, les légions de Rome mènent deux campagnes, l’une contre les Armoricains et la flotte Vénète, l’autre contre les Aquitains. La Celtique se transforme progressivement en province romaine...
Pendant son second mandat, en 55 av. J.-C., César traverse la Manche et réalise une première incursion en Bretagne, terre inconnue pour les Romains de l’époque. Il réalise un autre exploit militaire en allant combattre au-delà du Rhin les Sugambres, les Usipètes et les Tenctères.
En 54 il prépare une nouvelle expédition pour se rendre en Bretagne... Mais à partir de l’hiver 54/53, la situation en Gaule se détériore. Des révoltes se multiplient dans les territoires conquis qui deviennent incontrôlables...
À l’issue de leur consulat en 54 av. J.-C., Crassus part en Asie chercher une gloire militaire, l’Espagne et l’Afrique sont attribuées à Pompée, qui préfère rester à Rome et y envoie ses légats gouverner. Sur les quatre légions qui lui sont attribuées, Pompée en prête deux à César, qui a besoin de renforts .
En 53 av. J.-C., la défaite et la mort de Crassus et de son fils Publius à la bataille de Carrhes contre les Parthes puis la mort de Julia, fille de César et épouse de Pompée défont les liens du triumvirat. La Gaule se révolte de nouveau et les légions de César rétablissent l’ordre sans ménagement. Une nouvelle incursion en territoire germain a pour but de punir les Barbares qui soutiennent les tribus gauloises révoltées et surtout de retirer l’envie à Ambiorix de venir envahir la Celtique.
L’année 52 av. J.-C. est décisive pour César. En effet, la révolte en Gaule se généralise sous l’impulsion des Arvernes. À Rome, les désordres sont tels que Pompée est nommé consul unique avec l’assentiment des conservateurs. Il est désormais leur défenseur. Pendant ce temps, Jules César remporte une victoire éclatante au siège d’Alésia où il reçoit la reddition de Vercingétorix.
En 51 av. J.-C., après avoir étouffé les derniers foyers de révolte, César affirme la souveraineté de Rome sur la Celtique. Tandis qu’il termine son mandat de proconsul, il prépare son retour à Rome par la conquête de l’opinion romaine. Il répond aux critiques sur sa conduite de la guerre par la publication de ses Commentaires sur la Guerre des Gaules
Au Sénat, les conservateurs vont tout faire pour empêcher le projet de candidature de César. En 50 av. J.-C., César mène sa politique à distance depuis la Gaule Cisalpine : il fait élire Marc Antoine tribun de la plèbe pour l’année suivante. Les conservateurs s’activent aussi et prennent des contacts avec Labienus, son meilleur général. À la fin de l’année, les premières passes d’armes restent dans la voie légale et se déroulent au Sénat. Le tribun Curion propose que Pompée et César licencient simultanément leurs troupes, les consuls s’y opposent. La marche sur Rome devient bientôt inévitable...
C’est le lieu de toutes les trahisons et de tous les complots !
Mais encore...
Des légionnaires, des Germains, des Gaulois, des Bretons, des Belges, des Romains et des Helvètes.
En outre, notre histoire montre la relation particulière entre César et Vercingétorix : ils sont amis et alliés (tome 1, "Caius Julius Caesar") puis la situation dégénère entre les deux hommes pour finir par les transformer en rivaux acharnés pour qui le pouvoir suprême est la chose la plus importante (tome 2, "Vercingetorix"). La victoire ou la mort car ils n’ont aucune autre issue au duel qui les oppose.
Ainsi, le cadre historique tel que César nous l’a transmis sert de base à des histoires personnelles qui s’entremêlent et participent au changement profond de l’empire romain et aux prémices de la fin de la République. Espionnage, subversion, alliance politique, stratégie et propagande au service d’une cause et d’un homme : Rome et César !
Fiction et réalité, mythe et légende se mêlent pour donner une bande dessinée qui permet de revivre une aventure exceptionnelle menée par un homme qui a marqué l’histoire de l’humanité.
L’histoire
Les 6 parcours s’insèrent dans la « grande histoire » qui pour le coup est en arrière-plan. La relation César/Vercingétorix est également mise en avant et parfois même devient le centre du récit.
Une fois son consulat terminé, Jules César rejoint hâtivement son poste en Gaule. Pour éviter toute mise en cause devant la justice, il demeure durant son proconsulat dans ses provinces. En hiver, il retourne en Gaule cisalpine, où il reçoit ses partisans. Chaque année, il n’oublie pas de s’assurer que parmi les élus à Rome des magistrats lui soient favorables. La gestion de ses affaires en Italie même est confiée à son secrétaire Balbus avec qui il échange par précaution des courriers chiffrés.
Dès mars 58 av. J.-C., César s’engage dans la conquête de la Celtique en profitant de la migration des Helvètes et de leurs alliés. Cette expédition militaire est motivée par ses ambitions politiques, mais aussi par des intérêts économiques qui associent les Romains à certaines nations gauloises clientes comme les Éduens ou les Arvernes.
À Rome, les conservateurs réagissent avec circonspection à la guerre qu’il mène dans des terres appartenant à des alliés de longue date. Son affrontement contre le germain Arioviste, « ami du peuple romain », scandalise Caton, qui proclame qu’il faut compenser cette trahison de la parole romaine en livrant César aux Germains. La victoire contre Arioviste est totale et permet à César de devenir un acteur essentiel dans les affaires de la Celtique.
La Belgique et une partie de la côte Atlantique sont conquises en 57 av. J.-C.. Malgré des victoires sur les Nantuates, les Veragres et les Sédunes ainsi que la prise du col du Grand-Saint-Bernard, les armées commandées par Galba doivent battre en retraite et retourner dans le pays des Allobroges pour passer l’hiver. Cependant, l’ennemi belge est anéanti, n’étant plus une menace pour Rome ni pour les peuples gaulois voisins.
En 56 av. J.-C., Lucius Domitius Ahenobarbus, candidat au consulat soutenu par Caton et par Cicéron, met à son programme la destitution et le remplacement de César. Toujours obligé de se cantonner en Gaule, César réunit à Lucques Crassus, Pompée et tous les sénateurs qui les soutiennent. Ils renouvellent tous trois leur accord et définissent un partage des provinces. Pompée et Crassus profitent de l’appui de César pour remporter les élections et être élus pour un second consulat l’année suivante. Cicéron a des obligations envers Pompée et s’incline en soutenant la prorogation du gouvernement de César pour cinq nouvelles années. Durant cette même période, les légions de Rome mènent deux campagnes, l’une contre les Armoricains et la flotte Vénète, l’autre contre les Aquitains. La Celtique se transforme progressivement en province romaine...
Pendant son second mandat, en 55 av. J.-C., César traverse la Manche et réalise une première incursion en Bretagne, terre inconnue pour les Romains de l’époque. Il réalise un autre exploit militaire en allant combattre au-delà du Rhin les Sugambres, les Usipètes et les Tenctères.
En 54 il prépare une nouvelle expédition pour se rendre en Bretagne... Mais à partir de l’hiver 54/53, la situation en Gaule se détériore. Des révoltes se multiplient dans les territoires conquis qui deviennent incontrôlables...
À l’issue de leur consulat en 54 av. J.-C., Crassus part en Asie chercher une gloire militaire, l’Espagne et l’Afrique sont attribuées à Pompée, qui préfère rester à Rome et y envoie ses légats gouverner. Sur les quatre légions qui lui sont attribuées, Pompée en prête deux à César, qui a besoin de renforts .
En 53 av. J.-C., la défaite et la mort de Crassus et de son fils Publius à la bataille de Carrhes contre les Parthes puis la mort de Julia, fille de César et épouse de Pompée défont les liens du triumvirat. La Gaule se révolte de nouveau et les légions de César rétablissent l’ordre sans ménagement. Une nouvelle incursion en territoire germain a pour but de punir les Barbares qui soutiennent les tribus gauloises révoltées et surtout de retirer l’envie à Ambiorix de venir envahir la Celtique.
L’année 52 av. J.-C. est décisive pour César. En effet, la révolte en Gaule se généralise sous l’impulsion des Arvernes. À Rome, les désordres sont tels que Pompée est nommé consul unique avec l’assentiment des conservateurs. Il est désormais leur défenseur. Pendant ce temps, Jules César remporte une victoire éclatante au siège d’Alésia où il reçoit la reddition de Vercingétorix.
En 51 av. J.-C., après avoir étouffé les derniers foyers de révolte, César affirme la souveraineté de Rome sur la Celtique. Tandis qu’il termine son mandat de proconsul, il prépare son retour à Rome par la conquête de l’opinion romaine. Il répond aux critiques sur sa conduite de la guerre par la publication de ses Commentaires sur la Guerre des Gaules
Au Sénat, les conservateurs vont tout faire pour empêcher le projet de candidature de César. En 50 av. J.-C., César mène sa politique à distance depuis la Gaule Cisalpine : il fait élire Marc Antoine tribun de la plèbe pour l’année suivante. Les conservateurs s’activent aussi et prennent des contacts avec Labienus, son meilleur général. À la fin de l’année, les premières passes d’armes restent dans la voie légale et se déroulent au Sénat. Le tribun Curion propose que Pompée et César licencient simultanément leurs troupes, les consuls s’y opposent. La marche sur Rome devient bientôt inévitable...
Personnages et décors
Rome
Le Sénat et la demeure de Jules César seront des endroits où des actions se dérouleront tout comme le Forum où ses supporters feront entendre leur voix contre les membres du parti sénatorial. La ville éternelle ne sera qu’un cadre secondaire dans notre récit, mais les rares scènes qui s’y passeront auront un sens et une portée primordiales.
C’est le lieu de toutes les trahisons et de tous les complots !
Gaule cisalpine et Narbonnaise
César est proconsul dans ces deux provinces romaines où deux légats le représentent en permanence lorsqu’il est absent. Quand il ne fait pas la guerre, il y réside et évite de se rendre à Rome de peur d’être arrêté par ses ennemis. Ce long exil lui permet de se forger une armée fidèle et d’avoir ainsi la mainmise sur des provinces riches et puissantes. Une partie de l’intrigue se joue en Gaule cisalpine, essentiellement dans le second livre.
Gaule « celtique », Britannia et Belgique
Durant ses nombreuses campagnes militaires, Jules César en compagnie de ses généraux vont combattre puis soumettre des centaines de tribus celtes, détruire des villes ainsi que réduire en esclavage des milliers d’hommes et de femmes. Les territoires contrôlés par les Germains et la Britannia (Grande-Bretagne) ne seront pas conquis, mais toute la Celtique devient romaine après la victoire d’Alésia, permettant à César de retourner chez lui en triomphateur.
Gergovie et Alésia
Ces deux villes gauloises seront au centre du second volet de notre scénario, représentant une victoire de Vercingétorix puis sa fin et celle de la révolte de 52.
La forêt des Carnutes
Cette forêt est un haut lieu de spiritualité chez les druides qui appelleront à la révolte contre les Romains. Le druide Gutuater qui apparaît dès les premières planches finira par convaincre les peuples de la Celtique à s’unir contre l’envahisseur romain.
Jules César
Principal protagoniste et narrateur de notre histoire. Nous le présenterons dès les premières pages pour donner de la profondeur et installer la psychologie du personnage. Nous utiliserons parfois des dialogues réels qu’il nous a transmis dans son ouvrage...
Titus Labienus
Cet ancien tribun de la plèbe devient légat et général au côté de César (le Sénat peut ainsi surveiller le proconsul). C’est le Romain le plus craint par les Gaulois durant cette guerre de conquête.
Antoine
Autre grand général de César... Il deviendra son plus fidèle allié, contrairement à Labienus qui rejoindra Pompée. Il est totalement dévoué à son maître et mentor.
Petrus Volusénus (personnage fictif)
Présent au côté de César depuis la première campagne militaire en Celtique, ce général proche du parti sénatorial se méfie de son proconsul et n’hésite pas à tenir au courant les sénateurs qui ourdissent des complots contre les amis des Julii à Rome.
Il est de toutes les batailles, bravant la mort à chaque fois pour la gloire éternelle de Rome. Il finira par rejoindre Titus Labienus dans le camp de Pompée lorsque César se décidera à prendre le pouvoir à Rome en utilisant la force de son armée.
Il est de toutes les batailles, bravant la mort à chaque fois pour la gloire éternelle de Rome. Il finira par rejoindre Titus Labienus dans le camp de Pompée lorsque César se décidera à prendre le pouvoir à Rome en utilisant la force de son armée.
Éponine (personnage fictif)
Cette espionne éduenne est la fille d’un chef Éduen assassiné par un mercenaire Séquane, ennemi de Rome, au service d’Orgétorix. Elle a été engagée par Antoine pour mener des opérations de renseignement auprès des tribus récalcitrantes. Elle travaille avec deux hommes qui lui obéissent et n’hésitent pas à prendre des risques pour l’aider. Ce sont des guerriers aguerris. Elle travaille est fascinée par Rome, mais aime un chef gaulois qu'elle est censée séduire. Avant de mourir, elle se réconciliera avec sa famille traditionnelle lors des funérailles de son frère, mort dans le contingent des alliés romains.
Vercingétorix
Il est aux côtés de César pendant une bonne partie de la guerre, peut-être même dès le début. De par son haut rang, il fait partie du cercle des collaborateurs de César qui est également son mentor. Durant toute l'histoire, sa défection est vue comme une grande trahison, chose que César ne peut expliquer au Sénat à l'époque. Vercingétorix applique les stratégies romaines et organise son armée selon des principes qu'il a sans doute appris de César. Il faut imaginer que Vercingétorix et les Arvernes faisaient partie de l'alliance avec les Romains et que celui-ci était promis à de hautes fonctions dans la République. Lors de la révolte de 52, il devient le chef de toutes les tribus gauloises. Dès lors, César le considère comme son ennemi personnel ; il le combattra jusqu’à Alésia où il devra se rendre pour éviter un massacre. Durant la révolte, il applique les tactiques apprises et organise peu à peu ses guerriers en légions. C'est ce lien particulier (presque filial selon Dion Cassius ou Suétone) entre les deux hommes qui se ressemblent que nous explorerons : l'histoire de fiction montrera également les différentes facettes de chaque culture ainsi que le raffinement de la société gauloise et son apport aux Romains.
Aupex le jeune (personnage fictif)
Un chef arverne combattant sous les ordres de Vercingétorix, il s’enfuira plutôt que de se rendre aux Romains. Cependant, il espionnera pour le compte de Gutuater le Carnute et n’hésitera pas trahir les siens pour rejoindre les tribus non soumises...
Gutuater le Carnute
Druide de la tribu Carnute, ce fanatique qui prêche la guerre à outrance contre l’envahisseur est l’un des ennemis de Rome les plus recherchés. Il est présent dès le début de notre histoire...
Mais encore...
Des légionnaires, des Germains, des Gaulois, des Bretons, des Belges, des Romains et des Helvètes.